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CCFD – Terre Solidaire

Le CCFD – Terre Solidaire

est une association constituée de 29 Mouvements et Services d’Église créé en 1961 par les évêques de France.

Aujourd’hui, le CCFD reste fidèle à ses engagements premiers et adapte dans le contexte contemporain ses deux missions :

  • appuyer financièrement des actions envers les plus pauvres dans les pays du sud et de l’est ;

  • sensibiliser les Français au développement et à la solidarité internationale.

En insistant sur la dimension internationale de la charité, il participe ainsi à l’annonce de la Bonne Nouvelle. Il puise son inspiration dans l’enseignement social de l’Église et en particulier dans les encycliques Populorum progressio, Caritas in Veritate et Laudato Si’,  dont il souligne deux axes fondamentaux : promouvoir « le développement de tout l’homme et de tous les hommes » selon la formule de Paul VI et « la terre appartient à tous ».

Pour réaliser sa mission il s’appuie sur une équipe de salariés, à Paris et en région, et sur environ 15.000 bénévoles, dont 45 dans notre diocèse.

Son action s’articule autour de trois orientations :

  1. Le partenariat : rompant avec les pratiques d’assistance le CCFD soutient en permanence quelques 697 projets conçus et proposés par des partenaires locaux dans 66 pays et les accompagne à la fois financièrement et humainement. Ces projets couvrent un large spectre (agriculture familiale, accès à l’eau, éducation, santé, économie solidaire, droits des femmes etc.).

  2. Le plaidoyer : son expertise sur les questions d’aide au développement est reconnue par tous les acteurs de la solidarité internationale, et lui donne la légitimité pour s’exprimer sur les causes structurelles du sous-développement et de la préservation de « notre maison commune ».

  3. Eduquer au développement, et éveiller à la solidarité internationale, en Église mais aussi dans la société civile, en incitant chaque homme et chaque femme à exercer sa responsabilité de chrétien et de citoyen et à agir contre les inégalités qui ne cessent de croître. C’est dans ce cadre qu’il trouve sa place dans la pastorale diocésaine puisqu’il a été mandaté par les Évêques pour animer pendant le carême une campagne de réflexion et de partage.

Dans notre paroisse, il est représenté par une équipe de 7 personnes qui ne demande qu’à s’élargir. Visible surtout pendant le carême où cette équipe relaie la campagne nationale et la collecte, elle anime aussi depuis quelques années un mini-marché de Noël solidaire et équitable.  Ses membres participent aussi aux manifestations et rencontres diocésaines dans le cadre du Conseil Diocésain de la Solidarité et avec d’autres associations de la société civile (aide aux migrants, commerce équitable…).

Au niveau diocésain, la commission jeunes a créé depuis 2014 des animations ludiques à destination des enfants du primaire et des jeunes des collèges et lycée exploitables dans le cadre de l’établissement ou de la paroisse (ex. : « On a tous quelque chose à donner » ou « Tu es différent, enrichissons-nous »).

Bien entendu, le CCFD – Terre solidaire a toujours besoin de donateurs et de bénévoles.

 

Référents :

Isabelle DESRUELLES (06 10 74 72 73)

Gérard MOUSSIE (04 93 81 47 96)

Siège diocésain :

29, Bd Franck Pilatte, 06300 NICE

Tél : 04 97 08 17 08

Retour sur 2023 : “Nous ne sommes ni découragés, ni désespérés”

L’édito de la présidente

Depuis le 7 octobre 2023, le monde entier est en état de sidération devant la violence et l’horreur vécues en Israël, à Gaza et en Cisjordanie : tant de morts, de blessés, de disparus, de déplacés, d’otages, tant de destructions.
Des vies ravagées, des sociétés détruites. Les ondes de ce conflit ont gagné tous les pays, entraînant des fractures dans les populations.
Que faire, que dire quand notre partenaire palestinien nous interpelle : « nous ne savons pas le matin si nous serons vivants le soir » ?

Dans notre monde gouverné par le productivisme et le consumériste, l’extractivisme règne : pillage du bois des forêts tropicales, épuisement des sols par l’agriculture, captation de l’eau pour des barrages hydroélectriques, mers vidées par la pêche intensive, accaparement des terres, assèchement des nappes phréatiques, destruction de la biodiversité, pollution, communautés spoliées et disloquées…

Que dire, que faire quand Farai, directeur du Center for Natural Resource Governance au Zimbabwe, crie sa colère contre les compagnies minières et les États qui nouent des partenariats : « les populations locales ne récoltent que des miettes et payent double facture : le dérèglement climatique – dont le Nord est le grand responsable, et la violence, consubstantielle de l’activité minière » ?

En France, le Parlement vient de débattre d’un énième projet de loi « asile et immigration » émanant du gouvernement, tellement éloigné de la réalité du fait migratoire et des conditions de vie des personnes exilées dans notre pays.

Que dire, que faire quand Capucine, salariée des Terrasses solidaires depuis deux ans et bénévole au CCFD-Terre Solidaire à Briançon, constate : « l’État fait tout pour qu’il n’y ait plus d’accueil… »?

Les voix du dialogue

Nous pourrions être épuisés, découragés, désespérés devant tant de souffrances. Nous pourrions rester silencieux, tétanisés.

Impossible, quand nos partenaires nous montrent le chemin, celui que, dans sa récente exhortation apostolique Laudato Deum, le pape François appelle le multilatéralisme « d’en bas » : « Les revendications qui émergent d’en bas partout dans le monde, où les militants des pays les plus divers s’entraident et s’accompagnent, peuvent finir par exercer une pression sur les facteurs de pouvoir. » 

Pour que soient un jour entendues les voix du dialogue, de la construction de la paix et de la réconciliation. Jonathan du Refuge solidaire à Briançon, dit humblement, mais résolument : « Je ne crois pas qu’on sauvera le monde, mais on essaie au moins de faire quelque chose de digne avec les moyens que l’on a. »  

Vous, nous, ensemble, avec nos partenaires dans le Sud global, et nos alliés ici, avec le soutien de nos fidèles donateurs, c’est bien le cap qu’à hauteur d’êtres humains, nous nous efforçons de tenir. Le cap de l’humanité, de la dignité et de l’égalité des droits des personnes, du respect de la nature et des êtres vivants, de la protection des femmes et des enfants.  

Sylvie Bukhari-de Pontual, présidente

 

Avec le CCFD – TERRE SOLIDAIRE

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NOUVELLE EXPO AU MONASTERE DE CIMIEZ

1er septembre – 4 octobre 2021 : Saison de la Création

Pourquoi une saison de la Création ?

En 2015, le Pape François a retenu la date du 1er septembre pour instituer dans l’Église catholique, une « Journée Mondiale de Prière pour la Sauvegarde de la Création ». L’initiative rejoignait celle des Églises orthodoxes qui à l’occasion du 3ème rassemblement œcuménique de Sibiu en Roumanie de 2007, ont proposé un « temps de la création », du 1er septembre au 4 octobre. En effet, le 1er septembre est le début de l’année liturgique pour les Églises orthodoxes, ce jour rappelle en particulier l’œuvre de Dieu dans la création du monde. Le 4 octobre est la fête de St François d’Assise. La Journée Mondiale de Prière pour la Sauvegarde de la Création, devenue en 2019 la Saison de la Création du 1er septembre au 4 octobre, est célébrée dans le monde entier par les communautés chrétiennes.

« La Journée Mondiale annuelle de Prière pour la Sauvegarde de la Création offrira à chacun des croyants et aux communautés la précieuse opportunité de renouveler leur adhésion personnelle à leur vocation de gardiens de la création, en rendant grâce à Dieu pour l’œuvre merveilleuse qu’Il a confiée à nos soins et en invoquant son aide pour la protection de la création et sa miséricorde pour les péchés commis contre le monde dans lequel nous vivons », a écrit le Saint-Père.

Cette initiative mondiale œcuménique est “un temps pensé pour renouveler notre relation avec notre Créateur et avec toute la création en célébrant, en changeant et en nous engageant ensemble à agir.” Le thème pour 2021 est   “Une maison pour tous”. Il  est représenté par la tente d’Abraham et de Sarah, qui ont accueilli trois étrangers, qui se sont avérés être des anges (Genèse 18). Elle nous invite à une hospitalité envers les humains et toutes les créatures dans notre maison commune, le foyer (oikos) de Dieu .

Pour aller plus loin …

… cliquez ici : https://www.egliseverte.org/actualites/temps-pour-la-creation-2021/

 

Activités de la Fraternité des Jeunes

Planning des rencontres 2022-2023

 

  • Vendredi 9 septembre, 19h30 : Soirée de rentrée au Monastère de Cimiez

  • Dimanche 18 septembre :  Pèlerinage à la Sainte Baume

  • Dimanche 25 septembre, 10h30 : Messe de rentrée

« UN COEUR DE PERE » : EXPO SUR ST JOSEPH AU MONASTERE

Une nouvelle exposition a été inaugurée, dans le petit cloitre du Monastère de Cimiez, vendredi 19 mars, solennité de Saint Joseph. Oui, car c’est bien lui qui en est le protagoniste.

CLIQUEZ ICI POUR VOIR LA VIDEO-PRESENTATION DE L’EXPO

Le parcours de cette exposition a été pensé pour vous faire découvrir ou méditer (par extraits) la lettre apostolique « Patris Corde » que le Pape François a écrit en décrétant une année dédiée à Saint Joseph (8/12/2020–8/12/2021).

En célébrant ainsi les 150 ans de la proclamation de Saint Joseph comme patron de l’Eglise Catholique, le Pape propose à nos familles, à nos communautés et à chacun de nous le père putatif de Jésus comme source d’inspiration et compagnon de route.

Après avoir suivi les 7 paragraphes de la lettre « Patris Corde » – illustrée par images, sculptures, maquettes et reconstructions symboliques – le parcours aboutit à l’intérieur du cloître, où vous trouverez une nouvelle statue de saint Joseph qui vient aussi d’etre inaugurée et bénie pour l’occasion.

L’exposition sera ouverte jusqu’au 21 novembre 2021, tous les jours aux horaires suivants : du lundi au vendredi 9h-12h et 14h-18h ; samedi 9h-12h ; dimanche 12h-18h. Entrée libre.

Un grand MERCI aux Amis et Paroissiens qui ont œuvré avec générosité et créativité à la réalisation de cette exposition !

Et BONNE VISITE à tous !

CONFINEMENT DU WEEKEND : LES MESSES SONT MAINTENUES !

Chers Frères et Sœurs,

pendant les weekends

les Saintes Messes sont maintenues selon les horaires et la durée habituels. N’oubliez pas votre attestation de déplacement.

HORAIRES DES MESSES :

Samedi 16h30 – Vallon des Fleurs

Samedi 16h30 – Falicon

Dimanche 8h30 – Cimiez

Dimanche 10h30 – Cimiez

 

Que le Seigneur vous bénisse !

Les Frères du Monastère de Cimiez

Messes de la solennité de l’Assomption

Messes Assomption

HORAIRES DES MESSES ET INFOS POST-CONFINEMENT

Horaires des Saintes Messes de la solennité de l’Assomption le 15 août 2020

  • SAMEDI 10h30 – dans l’église du Monastère (90 places)

  • SAMEDI 17h – ND du Vallon des Fleurs (60 places)

  • SAMEDI 18h – ND de la Nativité à Falicon (25 places)

Horaires des Saintes Messes dominicales – été 2020

  • SAMEDI 17h – ND du Vallon des Fleurs (60 places)

  • SAMEDI 18h – ND de la Nativité à Falicon (25 places)

  • DIMANCHE 8h30grand cloître du Monastère (150 places) *

  • DIMANCHE 10h30 dans l’église du Monastère (90 places)

        * (ou dans l’église, en cas de mauvais temps)

 

Saintes Messes du Lundi au Vendredi

La Messe et les vepres à 18h30, dans l’Eglise du Monastère.

 

Confessions

Pas de permanences au confessional. Les frères sont disponibles pour les confessions sur rendez-vous (tous les jours, hormis le vendredi). Des lieux sont prévus pour respecter les distances et les gestes barrière tout en gardant la discrétion nécessaire.

 

Visites aux malades

Les visites aux malades demandées par les familles sont possibles, si tous sont bien d’accord sur la mise en œuvre des normes sanitaires. Merci de nous contacter et de préciser le(s) sacrement(s) demandé(s) : Confession, Onction des malades, Communion.

Expérience de la communion de désir

Témoignage sur la valeur de la communion spirituelle.

En ce temps de crise sanitaire nous voilà dans l’obligation de vivre l’eucharistie spirituelle. J’ai, suite à des soucis de santé, été très souvent et durant longtemps privée de la communion sacramentelle. Cette obligation de ne pas pouvoir vivre et recevoir le sacrement de l’eucharistie fut finalement pour moi une « grâce », ou du moins une belle expérience.

Avec du recul je peux dire que cette privation m’a beaucoup apporté et faite grandir dans ma foi. C’est un temps au désert mais pour se préparer au temps de la résurrection. Et combien plus cela peut-il être bon de le vivre en ce moment pendant le carême.

Désirer Jésus présent dans l’hostie m’a permis de redécouvrir l’importance de l’eucharistie. De la célébration eucharistique et le sens de la messe. Moins je pouvais vivre le sacrement, plus le désir de communier grandissait en moi.

Ce désert était une véritable épreuve. Un manque dans ma vie spirituelle. Je sentais la présence de Jésus s’essouffler. Dans un moment où j’en avais le plus besoin. Je me sentais seule, abandonnée.

Un dimanche en regardant la messe télévisée, je me sentais dans une grande tristesse de ce manque, de cette impossibilité de recevoir Jésus réellement présent dans le pain. Dans la prière, j’ai pris conscience que la communion spirituelle devais m’y rattacher. Qu’il me fallait la désirer de tout cœur. Comme je désire Jésus. Faire un acte de foi. Ce jour-là j’ai dit dans une prière intérieure :

« Jésus je désir te recevoir mais je ne le peux pas. Cependant je sais que tu peux venir me combler de tes grâces que j’aimerai recevoir par le sacrement de la communion. Viens habiter mon cœur. Vient faire en moi ta Volonté. Je désire m’unir à Toi dans l’amour ».

Suite à ce jour, j’ai pu communier tous les jours. En m’unissant à la prière de l’Église, si possible, je priais à l’heure de la messe de mon couvent ou de ma paroisse. En priant, les textes de la messe. En me préparant à ce moment où j’allais recevoir Jésus dans mon cœur, spirituellement, le désirant. Commençant par une demande de pardon. En faisant un acte de foi en la présence réelle de Jésus. Et en prenant le temps de rendre grâce de ce temps qui était toujours un moment de joie et de paix intérieure. J’étais unie au Bon Dieu, il vit en moi.

Cette communion m’a permis de ranimer le feu de la foi qui s’essoufflait. Comme un feu où il ne reste plus que des braises, tout le bois a brûlé. Après ce temps de communion de désir c’est comme après avoir remis des bûches et soufflé sur le feu. Il flambe, rayonne et réchauffe.

Bien entendu cette façon de recevoir Jésus ne remplace pas la communion au corps du Christ, mais elle porte des fruits, les fruits du sacrement, elle soutient, fortifie, donne vie et paix…

Le jour où j’ai pu retourner à la messe j’ai redécouvert l’eucharistie, la force et l’importance de ce sacrement. De la présence de Jésus qui vient en moi par les Saintes espèces. Et je peux dire aujourd’hui qu’il est possible de vivre une vrai Communion spirituelle par un acte de foi, une prière fervente (et encore je ne peux pas dire que je saches prier de façon très fervente, qu’en est-il des saints ?) On en retire les fruits qu’une communion sacramentelle, moindre ou différemment, mais ils s’offrent à nous.

Avant cette expérience je recevais parfois la communion de façon pas toujours présente à ce que je recevais, de façon tiède, par habitude… Ce temps de communion de désir m’a permis de prendre conscience que communier c’est m’unir au Bon Dieu, entrer en communion avec lui. M’offrir à Lui et Le recevoir. Aimer et désirer être aimée.

Communier c’est ce que dit le psalmiste « Mon âme à soif de Toi ; après Toi languit ma chair, terre aride, altérée, sans eau. » (Ps 62)

B.G.

Le 17.03.2020

Fête de Saint Vincent

DIMANCHE 27 JANVIER 2019

FÊTE de SAINT VINCENT,

Patron d’hiver de FALICON.

Messe à 10h30 avec procession

dans les rues du village.

 

A NOTER : pas de messe à Falicon le samedi 26 janvier à 18h.