Archives

 

Présentation de l’éveil de la foi / Espace Famille

Notre groupe souhaite éveiller les enfants (de la maternelles au CE 1) à Dieu et à la vie de Jésus.

Mais à cet âge, l’éveil à la foi et l’éveil à la vie sont indissociables. Les mille et une questions de nos enfants sont aussi bien souvent des questions d’adultes… des questions humaines existentielles se mêlent à des questions de foi !

Nous nous retrouvons une fois par mois, le dimanche de 10h15 à 11h30.

Activités de la Fraternité des Jeunes

Planning des rencontres 2022-2023

 

  • Vendredi 9 septembre, 19h30 : Soirée de rentrée au Monastère de Cimiez

  • Dimanche 18 septembre :  Pèlerinage à la Sainte Baume

  • Dimanche 25 septembre, 10h30 : Messe de rentrée

CONFINEMENT DU WEEKEND : LES MESSES SONT MAINTENUES !

Chers Frères et Sœurs,

pendant les weekends

les Saintes Messes sont maintenues selon les horaires et la durée habituels. N’oubliez pas votre attestation de déplacement.

HORAIRES DES MESSES :

Samedi 16h30 – Vallon des Fleurs

Samedi 16h30 – Falicon

Dimanche 8h30 – Cimiez

Dimanche 10h30 – Cimiez

 

Que le Seigneur vous bénisse !

Les Frères du Monastère de Cimiez

Fête de Saint Vincent

DIMANCHE 27 JANVIER 2019

FÊTE de SAINT VINCENT,

Patron d’hiver de FALICON.

Messe à 10h30 avec procession

dans les rues du village.

 

A NOTER : pas de messe à Falicon le samedi 26 janvier à 18h.

Vente de Crêpes au profit de Cimiez Mission et Développement

L’Aumônerie du Collège Matisse

et la Fraternité des Jeunes

organisent une vente des crêpes

à la sortie des Messes dominicales du

samedi 2 février

au Vallon des Fleurs et à Falicon, et du

dimanche 3 février

à Cimiez.

 

La vente sera entièrement dévolue

au profit de

Cimiez Mission et Développement

pour un projet éducatif

au Madagascar.

Adoration eucharistique et louange

 

« J’adore le Seigneur ! »

 

La Fraternité des Jeunes

vous invite

à adorer et louer le Seigneur

avec les jeunes

au Monastère de Cimiez.

 

Vous trouverez tous les détails

sur l’affichette ci-contre !

 

 

Semaine de Prière pour l’Unité des Chrétiens

Du 18 au 25 janvier

SEMAINE DE PRIÈRE

POUR L’UNITÉ DES CHRÉTIENS

Thème de la semaine:

JUSTICE et PAIX s’embrassent:

chemin d’Unité

 

Vendredi 18 janvier : 18h30, à l’église luthérienne de la Transfiguration (rue Melchior de Vogüé – entre Victor Hugo et Paul Déroulède), à Nice.

Samedi 19 janvier : 15h, au temple (21, bd Victor Hugo) avec le GOP (Groupe Œcuménique de Partage), à Nice.

Samedi 19 janvier : 19h, à l’église St Jean Baptiste Le Vœu, avec les étudiants de la Bougie, à Nice.

Dimanche 20 janvier : 16h30, célébration principale en la cathédrale de Vence, présidée par le père Jean-Louis Gazzaniga, vicaire général.

Lundi 21 janvier : 19h, au chapiteau du cirque de Fontvieille, à Monaco.

Mardi 22 janvier : 18h30, à l’église St Hélène (142, av de la Californie), à Nice.

Mardi 22 janvier : 18h30, à l’église de Saint-Jean-Cap-Ferrat.

Mercredi 23 janvier : 18h30, à l’église anglicane (11, rue de la Buffa), à Nice.

Jeudi 24 janvier : 18h30, chez les Clarisses de Cimiez (30, av Sainte Colette), à Nice.

Vendredi 25 janvier : 18h30, à l’église orthodoxe Sainte Alexandra (rue Longchamp), à Nice.

Vie à Deux 17 octobre 2018 – Les 4 intimités de l’Amour

Bénévolat à l’Hôpital de Cimiez

«J’étais malade et vous êtes venu me visiter» (Mt 25, 36).

Quel merveilleux service que celui de visiter les malades et les personnes âgées de l’Hôpital de Cimiez. «Face à la maladie, la souffrance et la solitude quoi de plus agréable qu’un visage souriant qui vient me rendre visite…» nous disent régulièrement les malades.

 

Vous ne savez pas si vous avez les compétences… nous vous accompagnons et vous formons. Vous avez un peu de disponibilité en semaine ou le week-end… venez rejoindre notre équipe. Au plaisir de vous rencontrer.

 

Vous pouvez contacter :

Jean Pascal Choury, Aumônier de l’Hôpital de Cimiez: tél. 06 12 27 26 73.

 

La première crèche de l’histoire

Le frère Thomas de Celano, premier biographe de Saint François, nous raconte, avec ses propres mots, l’épisode de la première crèche de Saint François d’Assise à Greccio (Italie) :

« Son dessein le plus haut, son désir principal, son projet suprême était d’observer en tout et à travers tout le saint Évangile, de suivre parfaitement de toute sa vigilance, de tout son effort, de tout le désir de son esprit, de toute la ferveur de son cœur l’enseignement de notre Seigneur Jésus Christ et d’imiter ses pas. Par une méditation incessante, il se souvenait de ses paroles ; par une très pénétrante contemplation, il se rappelait ses actions. En particulier, l’humilité de l’Incarnation et la charité de la Passion occupaient à tel point sa mémoire qu’il voulait à peine penser à autre chose. Aussi doit-on rappeler et honorer par une mémoire révérende ce qu’il fit, la troisième année avant le jour de sa mort glorieuse, au bourg fortifié qu’on appelle Greccio le jour de la nativité de notre Seigneur Jésus Christ.

Il y avait dans ce pays un homme du nom de Jean, de bonne réputation, mais d’une vie meilleure encore. Le bienheureux François le chérissait d’un amour particulier car, alors que dans son pays il était noble et honorable au plus haut point, il avait foulé la noblesse de la chair pour suivre la noblesse de l’esprit. Le bienheureux François, comme il faisait souvent, le fit appeler à lui environ quinze jours avant la nativité du Seigneur et lui dit : « Si tu désires que nous célébrions la présente fête du Seigneur à Greccio, dépêche-toi de t’y rendre à l’avance et ce que je te dis, prépare-le soigneusement. Car je veux faire mémoire de cet enfant qui est né à Bethléem et observer en détail, autant que possible de mes yeux corporels, les désagréments de ses besoins d’enfant, comment il était couché dans une crèche et comment, à côté d’un bœuf et d’un âne, il a été posé sur le foin. » Entendant cela, l’homme bon et fidèle courut bien vite et prépara en ce lieu tout ce que le saint avait dit.

Le jour de l’allégresse approcha, le temps de l’exultation advint. Les frères furent convoqués de plusieurs lieux : les hommes et les femmes de ce pays, chacun comme il le peut, préparent en exultant des cierges et des torches pour illuminer la nuit, elle qui a illuminé tous les jours et toutes les années de son astre scintillant. Enfin vint le saint de Dieu et, trouvant tout préparé, il vit et fut en joie. De fait, on prépare une crèche, on apporte du foin, on conduit un bœuf et un âne. Là est honorée la simplicité, exaltée la pauvreté, louée l’humilité et l’on fait de Greccio comme une nouvelle Bethléem. La nuit s’illumine comme le jour et elle fut délicieuse aux hommes ainsi qu’aux animaux. Arrive la population et, devant ce nouveau mystère, elle se réjouit de joies nouvelles. La forêt retentit de voix et les roches répondent aux cris de jubilation. Les frères chantent, s’acquittent des louanges dues au Seigneur et toute la nuit résonne de jubilation. Le saint de Dieu se tient devant la crèche, plein de soupirs, contrit de pitié et inondé d’une joie étonnante.

On célèbre la solennité de la messe sur la crèche et le prêtre jouit d’une consolation nouvelle. Le saint de Dieu se vêt des ornements de la dalmatique, car il était diacre, et chante d’une voix sonore le saint Évangile. Sa voix était certes une voix forte, une voix douce, une voix claire, une voix sonore, qui invita toute l’assistance aux récompenses suprêmes. Il prêche ensuite au peuple se tenant alentour et profère des paroles douces comme miel sur la naissance du pauvre roi et sur la pauvre petite cité de Bethléem. Souvent aussi, alors qu’il voulait nommer le Christ « Jésus », brûlant d’un amour excessif, il l’appelait  « l’enfant de Bethléem » et en disant « Bethléem » à la façon d’une brebis bêlante, il emplissait toute sa bouche du mot, mais plus encore d’un sentiment de douceur. Même ses lèvres, quand il nommait « l’enfant de Bethléem » ou « Jésus », il les léchait de la langue, goûtant sur son heureux palais et déglutissant la douceur de ce mot.

Là se multiplient les dons du Tout-Puissant et un homme de vertu aperçoit une vision étonnante. Il voyait en effet dans la crèche un petit enfant gisant inanimé dont semblait s’approcher le saint de Dieu ; et il paraissait éveiller cet enfant comme de la torpeur du sommeil. Cette vision n’est pas hors de propos, puisque l’Enfant Jésus, dans le cœur de beaucoup, a été livré à l’oubli et que chez les mêmes personnes, sous l’action de sa grâce, il est ressuscité à travers son serviteur saint François et s’est imprimé dans une mémoire attentive. Enfin s’achèvent les vigiles sacrées et chacun rentra joyeusement chez lui.

[…] Pour finir, le lieu de la crèche fut consacré comme temple au Seigneur et, en l’honneur du bienheureux Père François, on construit un autel sur la crèche et on dédicace une église ».

 

Thomas de Celano, Vita Prima, chapitre 30, 84 – 87. Sources Franciscaines, Éditions du VIIIe centenaire, Éditions Franciscaines, Cerf.